dimanche 20 juillet 2008

La fête à Pépin!





Ce fut une belle fête!

Merci aux amis qui sont venus et tant pis pour ceux qui l'ont manquée!

L'après-midi fut consacré aux activités libres: essentiellement baignade dans le Lac, bouffe et sieste.

À la fin de l'après-midi fut servi le délicieux gâteau de la pâtisserie le Palais, 4e rue, Shawinigan (plogue), gracieuseté de grand-maman Jeannine (merci!).

Il était bien sûr, comme le veut la tradition, au chocolat. Et Pépin, comme le veut la tradition, s'en est mis partout... Il en a mis partout sur maman, aussi. Il a fallu mettre ça tout habillé dans le bain (bébé, pas maman, quand même), ainsi la nouvelle chaise de table Metoo de Phil&Ted si pratique et merveilleuse (plogue...).

Ensuite, ce fut l'ORGIE de cadeaux!!!

Vous savez, la semaine dernière, on avait enfin terminé de dégager le salon, et j'avais dit à mon adoré concubin:
-Chéri! On aurait de la place pour un Lay-Z-Boy! Mon rêve!!!

Oubliez ça.....

Après la table parlante et chantante, la ferme parlante et chantante, le kiosque à musique parlant et chantant, la girafe-qui-avale-des-balles-et-les-rejette-par-les-pattes parlante et chantante, le kit d'instruments de musique de l'Éveil matin et toutes les autres magnifiques bébelles, y'a même pu de place pour mettre un pouf. On se croirait dans un Toys-R-Us.... Grande-tante Linda suggère d'ouvrir une joujouthèque...... j'y songe....

Mais notre François-Gustave est aux oiseaux! Et même si maman est déjà PU CAPABE d'entendre «Gusgus joue du violon pour faire danser le fi-i-lles» (extrait véridique du kiosque à musique chantant et parlant de Smartville) elle est bien heureuse que fiston s'amuse si bien.

Ce fut une belle fin de semaine, quoique un peu fatiguante...

François-Gustave a fini par s'endormir vers 21h30, près du feu, dans les bras de Julie, sa libellule préférée.

Rarement petit bonhomme d'un an fut entouré d'autant d'amour. Et ne t'inquiète pas Antoine, mon frère chéri, Joëlle et Karl étaient là pour représenter dignement les marraines bonnes fées de François-Gustave. Mais vous nous avez manqué, toi, Anne-Marie et mes trois terreurs de neveux!

Merci les amis et la famille de votre générosité et de votre bonne humeur. On vous aime!!!

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