lundi 17 mai 2010

Plus que 9 dodos...

Oui, le temps est élastique, flexible et malléable. Comment peut-il passer si vite lors d'un souper entre amis ou un séjour en camping, et si lentement quand on attend le retour de quelqu'un?

Je compatis avec Pénélope qui, elle, a attendu pas mal plus longtemps que moi, et dont l'insigne époux avait la vie plus difficile et plus risquée. Je ne suis quand même pas rendue à faire de la tapisserie....

Mais, c'est long.

En fin de semaine, j'ai dû faire un ajustement de discipline avec mon Pépin chéri. Deux jours de «Boot camp» à ne tolérer aucune incartade, même la plus petite niaiserie, à confisquer des jouets, à les jeter sur la galerie, à l'assoir sur la chaise de pénitence et à l'écouter hurler....

L'ennui commençait à le rendre insupportable et les hormones de grossesse ne me rendent pas très patiente. Ce fut dur, j'ai été vraiment sévère (presque totalitaire), mais ça a porté fruit. Hier soir, en s'endormant, il m'a dit:
«Je m'escuse de t'avoir tapée maman, je t'aime.... Est-ce que je peux ravoir mes crains (trains)?»

Il les aura ce soir s'il continue à bien se comporter....

Le beau temps arrive (accompagné des mouches noires $%?&*@#$%?&*) et nous passerons plus de temps à jouer dehors et à jardiner. Ça devrait aider.

Et, bientôt, son papa reviendra....

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